Ça prend aussi des bonnes nouvelles.
Après être passé sous les projecteurs un peu chaud lors de la Journée internationale des femmes, l'INRS révèle aussi ses beaux coups. Jamais de revers sans médaille. Ni d'hiver sans printemps d'ailleurs. Ou de mouches sans oiseau ni grenouille. De ying sans yang. (... wo wo, ça fera la litanie poétique!)
Radio-Canada nous a bien expliqué les tenants et aboutissants du pourquoi l'INRS peine à recruter des femmes professeures.
Le même jour ou presque, Le Devoir nous présentait une équipe très majoritairement (mais pas exclusivement) de femmes : https://www.ledevoir.com/societe/science/549291/la-recherche-la-reussite-et-le-travail-d-equipe Comme quoi tout n'est pas pourri au royaume.
NB: A nos compatriotes canadiens, ne prenez pas personnel l'expression "elle s’exile en Ontario". L'exil est un terme émotivement imprécis bien que connoté. Par contre, le fait demeure que Valérie a rapporté d'exil un nombre signifiant d'Ontariens... qui sont désormais les exilé.es.