Les éditeurs prédateurs exploitent le principe du libre accès de l’édition scientifique en exigeant des auteurs un paiement en échange de prétendus services éditoriaux et de révisions par les pairs, qui n'existe pas (ou pas vraiment).
Une nouvelle page du groupe de travail Promotion du développement des compétences informationnelles (PDCI) de l'Université du Québec présente des outils pour sensibiliser les professeurs et les étudiants des cycles supérieurs à la question de la publication dans les revues ou la participation à des congrès organisés par des éditeurs prédateurs dont l’objectif est le profit sans aucun égard pour la science.