Récemment, une collègue me signalait l'article suivant paru dans Le Soleil : Autodip voit grand (18 avril 2016) http://www.lapresse.ca/le-soleil/affaires/automobile/201604/18/01-4972625-autodip-voit-grand.php
L'article contient l'énigmatique ligne suivante "Le produit a été développé en collaboration avec l'Université Laval, puis avec l'Institut national de recherche scientifique, ainsi qu'avec des firmes de recherche privées."
Problème intéressant: ce produit que vend Autodip est une peinture non permanente pour automobile, un genre de pigment que l'on applique en vaporisateur, mais que l'on peut peler par la suite. Idéal pour apposer des marques de commerce, des numéros de rallye, des barres de Mario ou simplement pour personnaliser sa voiture. Sauf que... qui, à l'INRS, travaille sur ce genre de problématique??
Une petite enquête dans l'arrière-boutique nous apprend que Carole Parent, notre dynamique agente de valorisation, a croisé, lors d'un des nombreux événements de réseautage auxquels elle participe, un proche d'un des propriétaires fondateurs d'Autodip. Jusque là, rien de très intense puisque notre Carole croise ainsi des dizaines de personnes à chaque année. Mais la conversation a porté sur certains problèmes techniques de la jeune entreprise.
Or il y a un ingrédient important à connaître dans cette histoire : Carole raffole des bagnoles...! Pas à peu près. C'est de famille.
Son intérêt est donc alors capté et, bien que les chercheurs de l'INRS n'aient pas participé au développement des produits d'Autodip, cette fois-ci, ce sont les compétences en démarrage d'entreprises technologiques de notre Carole qui ont été mises à contribution. Et de fil en aiguille, de conseils en mises en contacts, voici Autodip lancé sur le marché international.
Rien à faire... Une fille de char, c't'une fille de char!