Une équipe formée d'étudiant-es de l'INRS a obtenu le feu vert pour passer en grande finale du concours Aqua Hacking 2016 sur le thème du fleuve Saint-Laurent. Cette finale aura lieu au Palais des congrès de Montréal les 6 et 7 octobre prochain. Cinq équipes sont passées à cette étape.
http://aquahacking.com/sommet/2016/programmation/
À surveiller :
Le 6 octobre à 8h50, la déclaration commune : le Saint Laurent de 2030. Déclaration préparée par 6 participants dont un représentant l’INRS, l'étudiant au doctorat Sébastien Ouellet Proulx.
Le 6 octobre à 10h25, les ateliers des maires (Montréal et Québec). Il est indiqué que le maire Labeaume présentera les figures de proue de sa ville en la matière ainsi que leur travail (dont les professeurs Patrick Drogui et Satinder Kaur Brar). Dans le programme, on lit :
Gestion des eaux à Québec : un effort collectif. Le maire Régis Labeaume présentera les figures de proue de sa ville en la matière ainsi que leur travail. À ce titre, l’Institut national d’optique (INO), l’Institut national de la recherche scientifique (INRS) et l’Université Laval présenteront des sujets tels que les mesures pour la détection de sodium et de calcium dans l’eau du fleuve en temps réel, les traitements pour l’élimination des contaminants émergents réfractaires contenus dans les eaux usées des hôpitaux ou encore les outils décisionnels au service de la protection de l’eau souterraine.
Et le 7 octobre de 14h30 à 15h30, la finale du défi Aqua Hacking 2016
Les membres de notre équipe sont : Yohann Chiu, François Clayer, Étienne Foulon, Charles Gignac, Sarah Goubet, Marie-Ève Jean
Et leur réalisation :
Afin de contribuer à la préservation du Saint-Laurent et à sa valorisation, notre équipe développe une application web (compatible mobile) de découverte des sites récréatifs de la Ville de Québec et ses alentours en bordure du fleuve St-Laurent (ex : parcs, marina, etc.).
L’application encourage les utilisateurs à visiter les sites autour du fleuve en leur octroyant des points pour chaque visite, itinéraire parcouru, ou action bénévole réalisée. Les zones sensibles sont également identifiées et les sites récréatifs y étant situés sont volontairement exclus de la liste proposée par l’application afin d’éviter d’y accroître la pression anthropologique.
Par le biais de capsules scientifiques disponibles à chaque visite de sites identifiés par l’application, l’utilisateur en apprend davantage sur la science derrière différents phénomènes naturels et enjeux touchant le fleuve St-Laurent et son environnement.
L’application permet également d’être informé et de prendre part à différents événements ponctuels à caractère éducatif, récréatif ou communautaire rattachés au fleuve St-Laurent (ex : conférences, compétitions sportives, bénévolats).
En alliant le côté ludique et scientifique, l'application vise ainsi à sensibiliser le grand public et valoriser le lien entre la science, les organismes communautaires et les citoyens sur une même plateforme interactive.